Curie provinciale: 3645, Avenue Kasapa Lubumbashi. République Démocratique du Congo. secprobeafofm@hotmail.fr

22 décembre 2023

Communiqué nécrologique

Frère Edmond Mbayo Ilunga, ofm

Loué sois-tu Seigneur, pour notre sœur la mort en qui reposeront nos corps et à qui nul homme vivant ne peut échapper.”

Frères et sœurs dans le Christ,

Que le Seigneur vous donne sa paix!

 

Les Frères Franciscains OFM, de la Province Saint Benoît l’Africain en République Démocratique du Congo et en Centrafrique ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de leur Frère Edmond Mbayo, ofm; Décès survenu ce Vendredi 22 décembre 2023, à Lukonzolwa (Diocèse de Kilwa-Kasenga), de suite d’une courte maladie.

 

La messe des funérailles suivie de l’enterrement auront lieu demain 23 Décembre 2023 à Lukonzolwa, sa terre de mission.

 

Puisse le Seigneur accueillir notre frère et lui accorder une place de choix dans son Royaume.

 

“Que les âmes des fidèles défunts, par la miséricorde de Dieu, reposent en paix.”



Fait à Lubumbashi, le 22 décembre 2023


Frère Bernard Kabila, ofm

Secrétaire Provincial

 


19 décembre 2023

Fêter Noël, c'est célébrer la lumière du Fils de l'homme

''Fêter Noël, c'est célébrer la lumière du Fils de l'homme'', une lumière qui vient dissiper les ténèbres de nos incertitudes. Tel est le message central du Frère Gervais Biringanine, ofm, Recteur de l'Université Jean XXIII de Kolwezi (UJKOL) au cours des cérémonies de souhaits pour les fêtes de Noël et de Nouvel An qui approchent. Qu'en est-il ? En fait, c'est ce mardi, 19 décembre 2023 que l'UJKOL a vibré au rythme d'une dynamique non seulement religieuse mais aussi scientifique. 

 

En effet, l'Université Jean XXIII de Kolwezi (UJKOL) a procédé à une journée très spéciale et capitale ce mardi en célébrant la Noël et en souhaitant de bonnes vacances à tous les Étudiantes et Étudiants (anciens et nouveaux) à travers diverses activités. Tout est parti de la célébration eucharistique présidée par le père Recteur qui, dans son speech, a souligné la lumière que nous apporte l'Enfant Emmanuel, et que nous devons répandre à tous les humains. 

 

Soulignons que la célébration eucharistique a débuté à 8h30 et a pris fin à 9h55'. Après, s'en est suivi une rencontre sportive de football entre les anciens et les nouveaux étudiants de l'UJKOL. Le score final est d'un but à zéro (1-0) en faveur des anciens. 

 

C'est autour de 12h45 qu'est intervenu le mot de circonstance du père Recteur soulignant qu'il faut militer pour l'excellence et la compétence au sein de l'UJKOL. Curieusement, le Président des Étudiants, le frère Isaac Mulumeoderhwa, ofm, est revenu à ce sujet en terme d'excellentia de cet Alma Mater. 

 

Au terme, vers 13h45, un verre d'eau a été partagé en vue de dire amicalement : ''Joyeuses fêtes de Noël et de Nouvel An''. 

 

Kolwezi, le 19 décembre 2023

 

Ministre de la Communication

Frère Faustin Paluku Nzuki, ofm



18 décembre 2023

Message du curé pour Noël du Seigneur 2023/ Paroisse Saint Louis des Français/Istanbul

Photo prise sur le site de l'OFM
Greccio

« Je voudrais représenter l'Enfant né à Bethléem, et voir avec les yeux du corps, les souffrances dans lesquelles il s’est trouvé par manque du nécessaire pour un nouveau-né, lorsqu'il était couché dans un berceau sur la paille entre le bœuf et l'âne »Thomas de Celano, Vita Prima, n. 84: Sources franciscaines (FF), n. 468.


Très chers frères et sœurs,


Joyeux Noël à tous, un Noël de joie et de sérénité !


La fête de Noël est la célébration de la naissance du Sauveur. C'est aussi l'explosion de lumière et de joie qui inonde les cœurs des enfants, des femmes et des hommes depuis la première Nativité et qui à travers les siècles nous atteint aussi en ce jour. 


La Nativité du Seigneur que nous célébrons nous rappelle que « la Parole éternelle d'Amour » s'est faite chair, dans la chair d'un enfant totalement désarmé. Nous voyons qu’il n’y a pas de place pour l’agression et le conflit dans la grotte de Bethléem. Il n’y a aucune place pour l’arrogance et l’orgueil dans la crèche qui accueille le Fils de Dieu, Humble et Pauvre. Et donc cette fête nous invite à l’humilité, à la simplicité et à la pauvreté qui sont des vertus qui confondent les mauvaises pensées et nous orientent vers le Seigneur. Les vertus qui nous apprennent à construire un monde meilleur où règnent la paix, la fraternité, la justice et l’amour.


Par ailleurs, la naissance de l’Emmanuel, Dieu parmi les hommes et les femmes de notre temps, nous invite à approfondir notre cheminement de synodalité. Elle nous apprend à découvrir toute la profondeur et la richesse de l’Incarnation de Dieu dans l’histoire de chaque homme, de chaque femme, de chaque enfant, de chaque culture et de chaque tradition. Célébrer Noël, c’est célébrer la joie de la venue du Seigneur parmi nous. Mais comment nous réjouir alors que beaucoup en sont privés ? Comment être en joie quand une bonne partie de l’humanité et la terre qui a vu naître et mourir, qui a nourri le sauveur du monde, le Prince de la Paix continuent à souffrir de la guerre, de violence, d’injustice, d’intolérance ?  


Laissons donc Noël démonter la violence, l’orgueil, l'agressivité et le ressentiment, la colère et l'emportement dans toutes nos relations et nos rencontres. Que Noël réveille en nous le vocabulaire de la bonté et de la bienveillance, du pardon et de la réconciliation, de la fraternité et de l’amitié, de l’amour et de l’humilité. Laissons-nous désarmer par l'Enfant de Bethléem qui, précisément parce qu'il est un « enfant », nous parle avec son silence, avec son cri, avec son sourire, et plus encore avec sa vie. Lui qui « ayant la condition de Dieu, ne retint pas jalousement le rang qui l’égalait à Dieu. Mais il s’est anéanti, prenant la condition de serviteur, devenant semblable aux hommes. Reconnu homme à son aspect, il s’est abaissé, devenant obéissant jusqu’à la mort, et la mort de la croix » (Ph 2, 6-8).


Que son message de paix parvienne dans notre communauté paroissiale, dans nos foyers, dans nos milieux de travail, dans nos réunions et dans nos relations interpersonnelles. Que le Prince de la paix désarme nos paroles, nos pensées, nos attitudes peu fraternelles et moins amicales précisément en ce moment où le progrès de la technologie présente des risques graves dans la fabrication d'armes de plus en plus sophistiquées au risque de compromettre tout processus d’une parfaite harmonie, de la paix, du dialogue, du coexister et d’un véritable vivre-ensemble.


Que l’Enfant de la crèche aide toute l’humanité à éteindre les foyers de guerre que nous portons en nous. Ainsi nous saurons prendre soin de notre regard méfiant, en purifiant nos cœurs pollués pour que la paix commence à régner à l'intérieur et à l'extérieur de nous. En effet, la parole est l’étincelle qui déclenche tout conflit ; et de la parole on passe aux mains, à la violence et, si les mains sont armées, cela peut conduire au meurtre, à la guerre. Les paroles violentes sont pires que les gifles : elles nous frappent intérieurement et laissent de profondes blessures. 


Chers amis, chers frères et sœurs, je ne pense pas dire quelque chose de nouveau, mais seulement réitérer l'évangile de Noël. Dans la communauté, dans la famille, dans l’Église ou dans la société, les paroles ont des conséquences, parfois douloureuses. Mais nos paroles peuvent et doivent devenir des ponts. Noël sera chez nous si l'on commence à désarmer la parole en apprenant à regarder chacun avec un regard de bonté, de fraternité, d’amitié et à pardonner à chacun avec un cœur libre.

 

Le Pape François, dans son message intitulé « Intelligence artificielle et paix » à l’occasion de la 57ème journée mondiale de la paix, souhaite que « puissent les fidèles chrétiens, les croyants de différentes religions et les hommes et les femmes de bonne volonté collaborer en harmonie pour saisir les opportunités et affronter les défis posés par la révolution numérique, et livrer aux générations futures un monde plus solidaire, juste et pacifique ». Je saisi, également, de cette opportunité pour nous exhorter à nous laisser toucher par la grâce de Noël et permettre, à travers ce moment historique, à Dieu de transformer nos critères habituels d’interprétation de notre vision du monde. Nous ne pouvons plus penser uniquement à préserver l’espace de nos intérêts personnels, mais nous devons le penser à la lumière d’une coexistence parfaite, d’un véritable vivre-ensemble et d’une collaboration responsable, avec le sens de la communauté, ou bien comme un « nous » ouvert à la fraternité universelle.


En outre, l’Incarnation du Fils de Dieu nous invite à nous ouvrir au monde. C’est pourquoi, nous ne pouvons plus seulement chercher notre propre bien ou satisfaction. C’est le moment de nous engager dans la sauvegarde et l’intégrité de toute la création, de notre planète, en créant les bases d'un monde plus juste et plus pacifique, sérieusement engagés dans la recherche d'un bien qui soit vraiment commun. Car, la paix ne tombe pas d'en haut mais doit être construite avec engagement, collaboration, patience, sans oublier que le premier pas pour devenir des artisans de paix est celui du « désarmement » du cœur.


Et après le désarmement du cœur, la Nativité de Jésus, désarmera notre langue et nos mains, renouvellera notre esprit, guérira nos âmes, pour que la seule parole qui motive notre engagement comme chrétiens, la seule parole qui nous rassemble soit toujours « frère, sœur », et le style de notre vie chrétienne devient : Shalom, Paix, Amani, Pace, Pax, Barış ve huzur ! 


Frères et sœurs, que ce Noël et ce Nouvel An soient un temps de sérénité et de paix : nous en ressentons tous l'urgence et le désir. Ce Noël de joie nous rappelle comment s'est déroulée la naissance de Jésus, dans un contexte également d’exclusion, d’indifférence, de souffrance et de fatigue : Jésus est né dans une famille pauvre qui arrive à Bethléem fatiguée du voyage par décret d'un empereur qui se croit maître du monde. Et il est né dans une étable parce que personne ne lui a ouvert la porte, Lui le maître du monde. Personne ne se tourne vers cette famille pour lui offrir l’hospitalité. Ce Noël nous rappelle que nous ne pouvons pas oublier les personnes qui souffrent dans leur corps, dans leur esprit, peut-être parce qu'elles ont perdu un être cher, parce qu'elles vivent un moment de solitude et de fatigue, les personnes qui souffrent de la précarité de travail ou à cause des fardeaux et des situations dus peut-être à la méchanceté des autres ou parce que victimes de la violence et de la guerre dans toutes les parties du monde où il y a des enfants, des femmes qui subissent la violence. 


Enfin, nous voulons porter dans nos cœurs tous ces frères, ces sœurs, ces enfants et toutes ces situations d’incertitude dans la Foi et dans l’Espérance qu'il est possible d'éprouver la sérénité et la joie de Jésus Sauveur au-delà de toute épreuve


Que l'Enfant de Bethléem nous aide tous à vaincre le mal par le bien et jamais par le mal moins encore par la violence. Qu’il nous donne l'espoir et la certitude que nous pouvons tous changer pour le mieux. À tous, je souhaite de tout cœur et demande le don d'une parole « apaisée » qui seule peut construire et renouveler nos relations, nos fraternités, nos familles et nos communautés. Que la nouvelle année 2024 soit une année de grâce, de bénédiction et apporte à chacun le bien, le bonheur qu'il désire et conduise chacun à la joie d'une fraternité retrouvée car elle se construit ensemble dans la responsabilité, la collaboration et l’humilité

Admirable grandeur
Étonnante bonté
Du maître de l'univers
Qui s'humilie pour nous
Au point de se cacher
Dans une petite hostie de pain

Regardez l'humilité de Dieu
Regardez l'humilité de Dieu
Regardez l'humilité de Dieu
Et faites-lui hommage de vos cœurs

Faites-vous tout petits
Vous aussi devant Dieu
Pour être élevés par lui
Ne gardez rien pour vous
Offrez-vous tout entier
À ce Dieu qui se donne à vous

Joyeux Noël et Bonne Année !

 

Istanbul, le 17 Décembre, 2023

Fr. Georges Misange, ofm

Paroisse Saint Louis des Français

Tomtom, Nuri Ziya Sok. No: 10,

34433 Beyoglu/Istanbul

30 novembre 2023

Lettre du Ministre général pour la Noël du Seigneur en 2023


À tous les Frères Mineurs de l’Ordre

Aux Sœurs contemplatives de notre Famille

Aux Sœurs du TOR et aux frères et sœurs liés à notre Ordre

 

« Voici le jour que fit le Seigneur : exultons et réjouissons-nous en ce jour ! Parce que le très saint enfant bienaimé nous a été donné et il naquit pour nous en chemin et fut posé dans une crèche, car il n’avait pas de place à l’auberge »1

.

C’est ainsi que François a prié avec ses frères le jour de Noël.

Je désire faire de même avec vous, Frères et Sœurs très chers, en ce temps d’Avent et de Noël de 2023, traversé par les ombres et les lueurs de guerre et de violence en tellement de parties du monde, et pas en dernier lieu, sur la Terre bénie où le Seigneur a voulu naître et mourir pauvre et encore aujourd’hui poursuit son agonie.

 

La première invitation du psaume composé par François est celle à la joie, qui aujourd’hui parait de plus en plus difficile : comme d’être heureux, en effet, parmi tant de signes de mort et face à un avenir incertain ? Avons-nous droit à la joie alors que tant d’hommes et de femmes sont privés de la paix et de la propre vie ?

 

Et alors comment expérimenter et proclamer, justement aujourd’hui, la joie de l’Avent e de la Noël ?

 

On nous demande d’apprendre à reconnaître ce qui freine en nous l’expérience de la joie et de la paix. 

 

Pour cette raison j’attire notre attention sur la présence en nous de ces « pensées mauvaises » - comme l’appelle la tradition spirituelle- et qui sont de vrais saboteurs de la joie et de la paix.

La gloutonnerie déforme notre rapport avec la nourriture, en créant l’illusion de nous gaver pour être satisfaits, et donc heureux ; pas seulement, elle développe en nous la luxure, qui déforme notre rapporta avec le corps et avec la sexualité qui ne sont plus vécus comme espace de rencontre mais bien de possession.

 

L’ire déforme notre rapport avec les autres parce qu’elle nous bloque sur nos idées et positions, que nous défendons à n’importe quel coût. On démasque ainsi en nous la vaine gloire et l’orgueil, qui déforment le rapport avec ce que nous faisons et avec Dieu, parce que nous occupons entièrement l’espace.

 

Nous voulons tout accaparer par peur de la mort, conne nous le révèle l’avarice, un rapport déformé avec les choses et avec l’argent Et voilà l’autre pensée qui déforme notre rapport avec 1 Office de la Passion XV, 6-7. l’espace, la mélancolie, le mal obscur qui nous assaille au midi de la vie, nous faisant croire qu’un autre lieu et d’autres occupations seront meilleurs pour nous et que personne ne le comprend, nous situant encore au centre de tout. Il n’y a pas de joie si nous vivons ainsi et pour ce motif la tristesse, qui nous agresse et déforme notre rapport avec le temps, abrégé par le sentiment maladif que tout passe.

 

J’ai voulu retourner à ces racines du mal antique qui existe en nous, parce que la violence du terrorisme et de la guerre, avec tout ce que cela provoque, nous met en contact avec ce puits profond de pensées et de sentiments qui corrompt en nous la paix et la joie.

 

C’est d’ici que nous pouvons nous découvrir coresponsables du mal présent dans le monde avec sa prétention de se substituer à Dieu. Le mal n’est pas une blague. Saint Paul dit qu’il y a quelque chose qui empêche la pleine révélation du Seigneur « dans la splendeur de sa venue »2 et nous ne savons pas ce que c’est. Nous savons cependant que nous sommes pèlerins et étrangers dans cette

lutte et donc dans l’attente de la venue du Seigneur. Pour cette raison ne nous effrayons pas, malgré les signes dramatiques des temps que nous vivons. Dans l’attente du Seigneur, en effet, nous sommes attentifs à les lire dans la foi, à changer le cœur et les actions grâce à son amour, « afin que Dieu soit tout en tous ».3


Permettons donc au Seigneur qui vient d’illuminer cette zone obscure présente en nous et de nous ouvrir aux vertus que l’Esprit effuse en nous. Comme nous le rappelle Saint François ce sont la joie et la simplicité, la pauvreté, l’humilité, la charité et l’obéissance : ce sont ces vertus qui confondent les mauvaises pensées et nous orientent vers le Seigneur 4, afin qu’explose la joie de la foi et de la suite du Christ, pour vivre une vie lumineuse et non pas résignée et triste.

 

Ce chemin est possible sur les pas de François, qui à Greccio accueille la venue du Seigneur dans l’Eucharistie, où « voici, chaque jour il vient à nous sous une humble apparence ; chaque jour il s’humilie comme lorsque des trônes royaux il vint dans le sein de la Vierge ; chaque jour il descend du sein du Père sur l’autel ».5

 

C’est l’abaissement du Seigneur qui nous ouvre la voie vers les sources de la paix et de la joie avec toutes les créatures. C’est en effet dans l’Eucharistie que nous pouvons restituer au Père, dans le Christ et dans la puissance de l’Esprit, cette création qui « gémit et souffre les douleurs de l’enfantement jusqu’à aujourd’hui».6

 

Paix, joie et gémissement de la création, non pas une joie à bon marché, mais la perfetta letizia (joie parfaite) que François a mûri de la Noël de Greccio jusqu’à la rencontre avec le Seigneur accueilli sur l’Alverne.

 

Il nous accompagne encore, avec tellement de personnes de bonne volonté en ces temps-ci, vers l’allégresse (letizia) découverte dans un enfant qui nait sur le chemin, comme tant d’hommes et de femmes qui fuient aujourd’hui les guerres, la faim et les injustices.

 

Une joie simple et vraie qui nous fait anticiper celle du retour du Seigneur que nous invoquons :

Maranatha, Viens Seigneur Jésus! Tu nous manques et aujourd’hui nous éprouvons avec douleur ton silence.

Est-ce justement dans ce tourment de l’absence que tu nous viens à la rencontre ?

Tu n’es pas loin de nous mais tu te laisses reconnaître. Donne-nous la foi de Marie, capable d’attendre !

Avec mes meilleurs vœux pour l’Avent et la Noël, comblés de sa paix pour tous !

 

Rome, 29 novembre 2023

800 ans de l’approbation de la Regula Bullata

 

Votre frère et serviteur,

Fr. Massimo Fusarelli, ofm

Ministre Général

Prot. 112739/MG-98


1 Office de la Passion XV, 6-7.

2 Cfr. 2Th 2,3-8b.

3 1Co 15,28.

4 Cfr. Salutation des Vertus, 10-15

5 Admonitions I, 16-18.

6 Rm 8, 22.


https://ofm.org/uploads/Lettera_di_Natale_2023_FR.pdf 

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