Curie provinciale: 3645, Avenue Kasapa Lubumbashi. République Démocratique du Congo. secprobeafofm@hotmail.fr

30 septembre 2021

Renouvelons notre vision. Embrassons notre avenir

 


Chers Frères et Sœurs

Que le Seigneur vous concède la paix!

L’Ordre a récemment célébré son Chapitre général et c’est la première fois que nous nous adressons à vous en tant que frères du Définitoire général. Nous avons commencé à travailler comme fraternité du Définitoire et nous étudions à fond les mandats/décisions et les orientations que le Chapitre général nous a confiés, pour élaborer les lignes guide en vue de l’animation de l’Ordre dans les six prochaines années. Nous espérons pouvoir vous offrir ces propositions le plus tôt possible.

Entre fragilité et changement

Une icône franciscaine qui nous aide en ces temps que nous vivons, c’est le retour de François de la Terre Sainte. Selon certaines traditions il vécut une quarantaine sur une petite ile de la lagune de Venise où il fit l’expérience de la fragilité de son monde, de la crise de la Fraternité, de ses luttes intérieures, dans un combat entre les ténèbres et la désolation. Et malgré tout François maintint une réponse de gratitude en union avec une vision fondée sur l’espérance. (cf. RnB 23).

Aujourd’hui aussi l’Ordre est travaillé d’espoirs et de découragements, entre la croissance dans certaines régions et le déclin dans d‘autres. Nous manœuvrons entre le chemin du renouvellement de notre identité de Frères Mineurs et le cléricalisme qui nous donne pouvoir et sécurité et nous fait croire que nous n’avons besoin de personne en nous éloignant de notre vocation et mission de Frères Mineurs. Voilà pourquoi nous pouvons nous laisser émouvoir une fois encore par le motif du Chapitre général: « Levez-vous … et le Christ vous illuminera » (Ep 5,14).

Nous sommes dans un moment de changement qui nous concerne tous et nous croyons que nous aussi nous devons nous situer dans ce climat de profonde transformation, en trouvant des directions nouvelles et positives. Ce n’est pas seulement un défi mais aussi un don des temps où nous vivons. Le présent nous défie, il nous met en situations de survie et de vulnérabilité. C’est une expérience profonde de notre existence qui nous appelle à cheminer le mieux possible et à approfondir le style de vie que nous avons professé, parce que nous reconnaissons que parfois nous oublions et nous ne vivons pas selon l’inspiration charismatique qui nous appelle à être frères et mineurs. Nous ressentir comme vulnérables nous permet de reconnaître nos fragilités personnelles et fraternelles et de cheminer parmi les gens en toute humilité, simplicité et joie.

Pour nous encourager et nous soutenir dans l’espérance en ces temps de changement, de fragilité et de vulnérabilité quelques attitudes peuvent nous aider:

a. Reconnaître et accepter notre fragilité humaine, dans notre fraternité et dans le monde qui nous entoure.

b. Reconnaître la bonté, la beauté, la justice, les valeurs imprimées dans le cœur des hommes et des femmes de notre temps afin de croître et de manifester de la joie tandis que nous accompagnons les autres à se réjouir pour tout ce que le Très haut fait dans leurs vies, leurs familles et communautés, là où ils vivent et travaillent.

c. Écouter l’invitation à changer pour pouvoir aimer sans peur, suivre des parcours de libération et aller dans les lieux de fracture, où la vie souffre et crie avec toute sa force. Ces cris montent au ciel et Dieu les écoute.

Quelques invitations

Dans le Document final le Chapitre général nous a offert cinq invitations qui constituent un itinéraire pour nous tous: une invitation à la gratitude, une invitation à renouveler notre vision, une invitation à la conversion et à la pénitence, une invitation à la mission et à l’évangélisation et une invitation à embrasser notre avenir. Pour nous frères mineurs ces invitations ne sont pas facultatives mais se présentent comme des critères nécessaires pour persévérer sur un chemin de fidélité en même temps que les cinq priorités de l’Ordre, déjà connues de tous.

En relisant ces cinq invitations comme un itinéraire, nous nous rendons compte d’être appelés, à partir de la gratitude pour les biens reçus qui engendre un acte constant de remerciement et la restitution permanente de tous les biens à Dieu. Parmi ces biens nous reconnaissons aussi la croissance de l’Ordre sur certains continents comme l’Afrique et l’Asie et, partout dans le monde, le témoignage sincère des frères aux côtés des indigents. Cette gratitude vient du don de l’Esprit qui renouvelle notre regard sur le monde et sur l’histoire, en reconnaissant les signes des temps et la présence de Dieu.

Toutefois, pour être vraie, cette vision renouvelée doit nous ouvrir les yeux sur la nécessité de la conversion et de la pénitence, afin de pouvoir vraiment renouveler nombre de nos attitudes qui ont besoin de purification. Les domaines qui ont besoin de renouvellement et de conversion sont ceux de notre vie fraternelle et de notre minorité car, comme nous le dit le Document final du Chapitre, fraternitas et minoritas sont les deux poumons de notre identité. La fraternité et la minorité doivent sûrement être vécues entre nous, dans nos communautés mais doivent certainement aussi caractériser notre approche des personnes que nous rencontrons, afin d’être des frères et mineurs pour tous. Les pauvres et ceux qui vivent dans la souffrance et dans le besoin sont les destinataires privilégiés de notre désir d’être frères et mineurs et nous les reconnaissons comme nos maîtres (cf. CG 93§1). Comme nous l’a dit le Pape dans son message au Chapitre: «Un regard renouvelé, capable de nous ouvrir au futur de Dieu, nous le recevons de la proximité des pauvres, des victimes des esclavages modernes, des réfugiés et des exclus de ce monde. Ce sont vos maîtres. Embrassez-les comme le fit saint François!».



À partir du regard des pauvres et des vaincus

Nous sommes invités par les frères capitulaires, dans le contexte de la pandémie que nous vivons comme humanité, à essayer de faire un effort pour lire la réalité, l’histoire, la culture, l’économie et l’Église en partant d’où vivent les pauvres, les vaincus, les marginalisés. Ainsi, avec un nouveau regard profond, croyant, incarné et théologique, nous pourrons embrasser et nous laisser embrasser par les pauvres et par les vaincus. Pour y arriver nous avons besoin de purifier et de transformer notre vision, à la manière de Jésus, du Poverello d’Assise et des milliers de Frères et de Sœurs qui au cours de ces 800 ans ont su se situer à l’envers de l’histoire, dans une attitude proprement franciscaine.

Comme pour saint François, cela nous ouvre la voie de l’itinérance, pour vivre «en ce monde comme des pèlerins et étrangers» (Rb 6,2), libres pour la mission et l’évangélisation, comme fraternité contemplative en mission, les yeux tournés vers l’avenir, en dirigeant nos pas ver l’autre rive, selon l’invitation de Jésus à ses disciples. Nous ne devons pas avoir peur d’entreprendre de nouvelles voies, en répondant aux exigences d’un monde en changement rapide. Nous ne pouvons pas nous contenter de répéter ce qui a toujours été fait avec tout le respect pour une histoire qui a été grande parce que elle a su se renouveler constamment au cours des huit siècles.

Notre temps nous demande en particulier une attention spécifique è la maison commune, dans une perspective d’écologie intégrale, selon ce que nous enseigne le Pape François. La nouveauté de cette perspective c’est qu’elle lit de façon interconnectée toute la réalité, de la relation avec Dieu à l’attention pour le milieu et à l’engagement pour la justice et la paix. Et nous croyons qu’il s’agit d’un défi de grande urgence pour nous tous. Si notre style de vie, où une certaine recherche de commodité trouve aussi son espace, n’est pas toujours cohérent avec cette perspective, il nous faut reconnaître que nous avons nous aussi besoin de pénitence et de conversion. Il convient d’avoir présentes les Encycliques papales Tous frères et Laudato Si’, qui suscitent en nous la disponibilité à se mettre en chemin, à étudier et à nous engager pour le bien de la vie. Celles-ci, en outre, sont un signe prophétique qui montre comment est réellement possible un style de vie et de relation à la lumière de l’Évangile et de la praxis de saint François et de sainte Claire, selon l’esprit qui nous porte à être de bons administrateurs et non pas des propriétaires, à partager et non pas à accumuler.

L’espérance renait lorsque nous apprenons à ne pas avoir peur de recommencer le plus souvent possible.

Allons tous de l’avant: derrière nous il y a une histoire riche, que nous célébrerons aussi dans les prochaines années à travers les centenaires franciscains, et devant nous il y a un avenir que nous voulons accueillir dans l’espérance. Nous voulons offrir une parole de confiance et d’espérance à notre monde qui en a grand besoin.

Nous invitons tous ceux qui s’inspirent de saint François à choisir de toujours rendre grâces à Celui qui modèle la vie de chacun d’entre nous et à toutes les personnes que nous rencontrons d’une manière ou d’une autre sur le chemin de la vie et de l’histoire. Nous sommes invités à participer avec responsabilité à une culture du prendre soin, en nous assurant que nos fraternités et tous les milieux pastoraux soient sains et significatifs, et que personne ne s’y sente menacer dans sa vie, son intégrité et sa dignité.

Nous sommes invités à être des constructeurs de ponts, de communication et de dialogue. Nous voulons nous aligner au côté de ceux qui sont socialement, culturellement et ecclésialement abandonnés, ainsi que de ceux qui sont contraints par les réalités économiques et politiques à devenir migrants, en œuvrant avec tant d’hommes et de femmes de bonne volonté, tout comme avec des organisations laïques très engagées dans ce but. Ainsi notre vie franciscaine sera toujours une vie d’incarnation et d’engagement fraternel et politique avec les bienheureux du Royaume de Dieu (Matthieu 5,1-12: 25,31-46).



En conclusion

Chers Frères et Sœurs, ne voyez pas la Curie générale comme un lieu lointain. Nous sommes ici pour vous et nous voulons être proches de vous. Nous ferons notre part pour rechercher le contact avec vous et avec les Entités de la Famille franciscaine et nous comptons sur votre volonté d’entrer en relation avec nous.

Sur l’exemple du pape François qui conclut ses discours en demandant toujours de prier pour lui, nous aussi nous adressons à vous tous la requête de prier pour nous. Bonne fête de saint François avec notre salut fraternel.

 

Le Ministre Général et le Définitoire

Roma 2021





26 septembre 2021

Retraite annuelle au Scolasticat Saint Jean XXIII

 Le travail : œuvre divino-humaine

Père Alphonse Mav, sds


Une semaine durant, la Fraternité du Scolasticat saint Jean XXIII de Kolwezi a organisé une retraite annuelle -comme à l'accoutumée. En effet, dans un silence au milieu des chants d'oiseaux, les Frères se sont recueillis au scolasticat même, et ce, du dimanche 19 septembre au samedi 25 septembre 2021.

Ladite retraite a été animée par le Père Alphonse MAV, sds, curé de la paroisse Notre Dame de Fatima (Cité Manika -Kolwezi).

Au vu de ses interventions ayant pour sources principales le livre de la Genèse (1,28. 2,15) et l'Évangile selon saint Mathieu (25,14-30), le prédicateur a centré son enseignement sur '' Le travail : œuvre divino-humaine''.

A cet effet, l'orateur n'a cessé de souligner la dimension spirituelle du travail humain et divin.

En voici quelques grandes lignes :

-le travail fait partie du plan d'amour de Dieu,

-le travail, bénédiction divine et source des richesses,

-le travail chrétien dans l'œuvre du salut,

-Jésus-Christ et le travail

-de l'assistance à une autogestion responsable : la vie religieuse en RDC et surtout dans le contexte franciscain.

En gros, le Père Alphonse MAV a lancé une forte invitation à son auditoire : travailler dans la justice, laborieusement. Il faudra, à ses propos, se défaire de cette mentalité toujours dépendante en vue d'envisager authentiquement une vie religieuse au sens africano-congolais. Il cite Jean de Lafontaine :'' Travaillez, prenez de la peine...''

Le travail revêt une double dimension : la bénédiction divine et la responsabilité humaine.

Tout s'est clôturé l'avant-midi de ce samedi, 25/09/2021 par la célébration eucharistique présidée par le prédicateur même de la retraite, le Père Alphonse MAV accompagné des Pères Alphonse MWAMB et Cosmas SAFARI, franciscains.

 Kolwezi, le 25/09/2021

 Frère Faustin Paluku Nzuki, ofm.






22 septembre 2021

Frère Marcel Tshikez, ofm Visiteur général dans la province du Verbe incarné

 

Frère Marcel Tshikez, ofm

Chers frères, que le Seigneur vous donne sa paix!

Le Ministre Provincial me charge de vous annoncer que le Frère Marcel TSHIKEZ a été nommé par le Ministre Général comme Visiteur Général dans la Province du Verbe Incarné (Province de l'Afrique de l'Ouest). Nous lui présentons nos vives félicitations et surtout nous lui souhaitons un fructueux travail au service de l'Eglise, de l'Ordre et des frères.

Fructueux apostolat.

Frère Bernard KABILA, ofm



17 septembre 2021

Les stigmates de Saint François d'Assise (1224)

 

Les Stigmates de saint François d'Assise

Deux ans avant sa mort, saint François s'était retiré dans la Toscane avec cinq de ses Frères, sur le mont Alverne, afin d'y célébrer l'Assomption de la Très Sainte Vierge et préparer la fête de l'archange saint Michel par quarante jours de jeûne.

C'était aux environs de la fête de l'Exaltation de la Sainte Croix, François priait les bras étendus dans l'attente de l'aube, agenouillé devant sa cellule. «O Seigneur Jésus-Christ, disait-il, accorde-moi deux grâces avant que je meure. Autant que cela est possible, que dans mon âme et aussi dans mon corps, je puisse éprouver les souffrances que Toi, Tu as dû subir dans Ta cruelle Passion, et ressentir cet amour démesuré qui T'a conduit, Toi, le Fils de Dieu, à souffrir tant de peines pour nous, misérables pécheurs!»

Tandis qu'il contemplait avec grand recueillement les souffrances du Sauveur, voici qu'il vit descendre du ciel un séraphin sous la forme d'un homme crucifié, attaché à une croix. Cet esprit céleste portait six ailes de feu dont deux s'élevaient au-dessus de sa tête, deux s'étendaient horizontalement, tandis que deux autres se déployaient pour voler et les deux dernières recouvraient tout le corps. Devant cet étrange spectacle, l'âme de François éprouva une joie mêlée de douleur. Le séraphin s'approcha de lui et cinq rayons de lumière et de feu jaillirent des cinq plaies de l'ange crucifié pour venir frapper le côté, les deux mains et les deux pieds du Saint, y imprimant pour toujours la trace des sacrés stigmates de Notre-Seigneur.

La mystérieuse apparition disparut aussitôt, laissant le pauvre d'Assise en proie à d'inexprimables souffrances. Son côté droit laissait paraître une large plaie pourpre dont le sang sortait avec une telle abondance que ses habits en étaient tout imprégnés. Les têtes des clous apparaissaient au-dessus des mains ainsi qu'au-dessus des pieds; leurs pointes étaient repliées de l'autre côté et enfoncées dans la chair.

Saint Bonaventure qui a écrit la vie de saint François une trentaine d'années après sa mort, affirme que ceux qui virent et touchèrent ces stigmates constatèrent que les clous étaient miraculeusement formés de sa chair et tellement adhérants que lorsqu'on les pressait d'un côté, ils avançaient tout d'une pièce de l'autre. Ces clous se trouvaient si bien unis à la chair et à la peau de saint François que même après sa mort, on essaya vainement de les en arracher. Des milliers de témoins oculaires ont contemplé les fascinantes empreintes pendant la vie et après la mort du grand dévot de la Passion de Jésus.

Attentif à tenir ses stigmates cachées, saint François couvrait ses mains et marchait chaussé. Il ne put cependant les dissimuler longtemps, car il lui devint trop douloureux de poser la plante des pieds par terre, aussi devait-il recourir malgré lui à la continuelle assistance de ses frères. Dieu qui pour la première fois, décorait un homme des stigmates de Son Fils unique, voulut manifester leur origine céleste en accordant quantités de miracles par leur vertu surnaturelle et divine.

Le pape Benoît XI voulut honorer par un anniversaire solennel et un office public, cette grâce qui n'avait jamais été accordée auparavant à la sainte Eglise. Le souverain pontife Sixte V ordonna d'insérer, dans le martyrologe romain, la mémoire des Stigmates de saint François, au 17 septembre. Le pape Paul V étendit cette fête à l'Eglise universelle dans le but d'éveiller l'amour de Jésus crucifié dans tous les coeurs.

Résumé O.D.M.


Source: https://sanctoral.com/fr/saints/les_stigmates_de_saint_francois_d_assise.html

11 septembre 2021

L'émission des vœux solennels à la Chapelle saint Gérard/Somika

 

De gauche à droite
Frère Oscar Mujumbe, Frère Dieudonné Kakule, Frère Junior Ngongo, Frère Adolphe Aganze


La célébration Eucharistique de ce 11 septembre 2021 à la chapelle Saint Gérard de la paroisse saint Kizito de Lubumbashi a été présidé par le ministre provincial, le frère André Murhabale, ofm à 14h30. Au cours de cette messe, les frères franciscains Adolphe Aganze, Dieudonné Kakule, Junior Ngongo et Oscar Mujumbe se sont engagés définitivement dans l’Ordre des frères mineurs.

En union avec la famille franciscaine, avec les membres des familles des frères et de toute l’église paroissiale de saint Kizito et de la chapelle saint Gérard nous leur souhaitons une bonne vie franciscaine sur les traces de notre père séraphique saint François d’Assise.

Frère Luc Nzita, ofm

Litanie des saints

Frère Zabulon Furume, ofm et les nouveaux profès solennels

Le Ministre Provincial le frère André Murhabale, ofm et les nouveaux profès solennels



Les frères ofm, un jeune ami de saint François et les nouveaux profès solennels



03 septembre 2021

Ce n’est pas chaque jour quatre-vingts ans

 

Frère Jean-Marie Ngoy, ofm

« Le nombre de nos années ? Soixante-dix, quatre-vingts pour les plus vigoureux ! » Ps 90 (89), 10

Ça a toujours été un moment agréable de fêter un événement dans la vie d’un frère et de partager  avec lui des moments agréables qui marquent toute son existence. C’est ainsi que la fraternité de la procure franciscaine de Lubumbashi et plusieurs autres frères et sœurs ont célébré dans la joie les quatre-vingts ans d’âge du frère Jean-Marie Ngoy, ofm ce 03 septembre 2021.

Après le frère Damien Isabell, ofm,  le Frère Jean-Marie Ngoy est le deuxième à rejoindre le clan des plus vigoureux.

Pour ta fête cher frère Jean-Marie Ngoy, un souhait de bonheur, de prospérité et de santé est notre plus beau cadeau. Que cette journée soit pour toi une action de grâce. Joyeux anniversaire !

Frère Luc Nzita, ofm


Quelques Photos

Frère Jean-Marie Ngoy, ofm


Frère Jean-Marie Ngoy avec deux sœurs franciscaines du Règne de Jésus-Christ

Frère Hippolyte Ilunga, ofm et le Frère Jean-Marie Ngoy, ofm 


Les frères ofm et le frère Jean-Marie Ngoy après la messe


01 septembre 2021

Loué sois-tu Seigneur pour frère Christophe Kanangila, ofm!

 


Aujourd’hui 01 septembre 2021,  comme d’accoutumée, la Chorale Christ-Sauveur de la paroisse Notre Dame de la paix (Mariapolis) de Kolwezi et quelques membres de la Chorale Mwanga C de la paroisse Saint Antoine de Padoue/Gcm Kolwezi  sont venus animer la messe du matin au scolasticat Saint Jean XXIII. La messe présidée par le gardien du scolasticat le frère Gustave Mbak, ofm était en mémoire du frère Christophe Kanangila, ofm qui totalise aujourd'hui 25 ans après son entrée au ciel.

Il convient de souligner que le frère Christophe a beaucoup travaillé pour l’église particulière de Kolwezi et pour la formation des futurs prêtres au Scolasticat Saint Jean XXIII. Les Chrétiens de notre Dame de la Paix, de Saint Antoine de Padoue et les frères franciscains se souviendront toujours de ce grand professeur de théologie, prédicateur au franc-parler et compositeur incomparable.

C’est à ce titre que la Chorale Christ-Sauveur et la Chorale Mwanga C continuent à l’honorer et à perpétuer ses œuvres et à faire sa mémoire.

Il y a de quoi rendre grâce à Dieu pour nous avoir donné ce frère qui a su faire prier le peuple de Dieu par la profondeur de ses chants et de ses prédications. 

Frère Luc Nzita, ofm


La chorale Christ-Sauveur dans la chapelle du Scolasticat Saint Jean XXIII




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