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30 novembre 2020

Trouver l'espoir au milieu de la pandémie covid-19 | Lettre du ministre général aux frères de l'ordre

 


Mes chers Frères de l'Ordre,

 Selon les mots de notre père séraphique, que le Seigneur vous donne la paix!

 Ça a été mon intention depuis un certain temps de vous écrire à nouveau pendant ce moment particulièrement difficile de la vie du monde, de vous tenir au courant de certaines des bénédictions et des défis auxquels nous sommes confrontés en tant que fraternité mondiale, et de nous encourager tous, pour garder le cap et garder la foi. J'ai choisi cette date, qui commémore l'approbation par le Pape Honorius III en 1223 de la Règle et de la Vie définitive (Regula bulata), pour vous parler des questions urgentes qui pèsent sur tous nos cœurs.

 Au cours de ces derniers mois, j'ai été en contact avec un certain nombre de Provinciaux et Custodes pour m'informer de votre bien-être mes chers frères et pour communiquer des mots de consolation, de solidarité et d'espérance chrétienne. L'année 2020 sera à jamais dans les mémoires comme celle au cours de laquelle toute la communauté humaine a été mise à genoux, humiliée par le pathogène Sars-CoVid-2 (ci-après, CoVid-19). Alors que la pandémie continue de ravager les communautés humaines, laissant dans ses souffrances indicibles, elle a d’autres conséquences sociales graves. Les familles, les amis et les frères de l'Ordre ont ressenti l'impact psychologique et émotionnel qui résulte du maintien de la distance sociale, du port de masques protecteurs et de l'abstention d'exprimer des formes physiques d'affection, nous privant de quelque chose de si vital et nécessaire à la vie humaine et communauté. La perte d'emplois et de moyens de subsistance a également un impact très négatif sur la vie de milliards de personnes dans toutes les régions du monde. Les gens sont de plus en plus poussés dans la pauvreté chronique. Il y a un sentiment croissant de peur, d'incertitude, d'impuissance et de désespoir.

 Cette pandémie mondiale et ses conséquences collatérales ont également un impact sérieux sur la vie de tous les Frères de l'Ordre. Les Frères de l'Ordre sont morts. D'autres sont tombés gravement malades et ont passé du temps à l'hôpital. D'autres encore ont passé leur temps en quarantaine, isolés de leurs frères en fraternité. Même notre travail, nos engagements ministériels dans les paroisses, les écoles, les programmes de services sociaux, les retraites, le travail pour la justice, la paix et le soin de notre maison commune ont tous été sérieusement perturbés par la pandémie. Certains frères ont partagé avec moi leurs crises de dépression, leurs sentiments de solitude, leur sentiment de perte d'autonomie et de pouvoir sur leur vie, et même leurs sentiments de colère et de tristesse persistante dans leur cœur. Je peux comprendre ces sentiments car je les ai aussi ressentis à un degré ou à un autre.

 Aujourd'hui plus que jamais, nous devons inventer de nouvelles façons d'être ensemble, multiplier les moments où nous pourrions partager les difficultés et les frustrations que nous vivons, tout en respectant les normes de santé publique pour le bien commun. Saint François nous rappelle dans la Règle et la Vie: « Partout où se trouvent les frères et se rencontrent, montrons-leur qu'ils sont membres d'une même famille. Que chacun fasse part avec confiance de son besoin à l'autre, car si une mère aime et prend soin de son fils selon la chair, avec combien plus de diligence quelqu'un doit-il aimer et prendre soin de son frère selon l'Esprit! » (RB, Ch. 6).

 La crise sanitaire actuelle a profondément modifié la façon dont nous, à la Curie générale, conduisons notre service à la fraternité universelle. Je n’ai pas pu vous rendre visite, mes chers frères, et les Définiteurs n’ont pas pu non plus accompagner la vie de vos entités d’une manière qui exprime la proximité et un «personnalisme franciscain». Ce personnalisme accorde une grande valeur à la rencontre «face à face», au partage de la prière, des repas et de la vie ensemble. Nous avons été contraints de mener nos réunions via Zoom, Skype ou un autre format électronique. Malgré ces limites, tous les efforts ont été faits pour garder les canaux de communication ouverts dans l'espoir que nous pourrions nous encourager les uns les autres à garder les yeux fixés sur le Seigneur Jésus, à prendre soin les uns des autres et à exprimer notre solidarité avec ceux qui nous entourent qui souffrent.

 Un autre défi auquel nous sommes confrontés en tant que fraternité est lié à notre propre situation financière. Les ministres m'ont fait savoir qu'une conséquence profondément troublante du CoVid-19 a été une sérieuse réduction des revenus alors même que les dépenses continuent d'augmenter. Il en résulte un effet domino: des fraternités locales autrefois autonomes se retrouvent désormais à demander une aide financière; Les Provinces et les Custodies ont du mal à soutenir les Frères, et encore plus à transmettre à la Curie Générale leurs contributions de solidarité. La Curie dépend de ces contributions pour aider à soutenir les maisons dépendantes de l'Ordre et les besoins de formation et de mission de nombreuses entités économiquement plus pauvres. De plus, nous dépendons également des revenus de la Fondazione Opera Antonianum, chargée de superviser les opérations de l'hôtel Il Cantico et de l'Auditorium situé à l'Université Pontificale Antonianum. La pandémie a provoqué une perte de revenus. La Fondazione ne pourra apporter aucune contribution au budget de la Curie pour les exercices 2019, 2020 et éventuellement 2021. Nous ressentons déjà le pincement.

 Frères, j'espère que dans ces moments difficiles, vous trouverez plus de temps pour vous concentrer sur ce qui compte vraiment pour nos vies. Comme nous le rappellent nos Constitutions générales, nous sommes « tenus de mener une vie radicalement évangélique… dans un esprit de prière et de dévotion, et dans une fraternité fraternelle… un témoignage de pénitence et de minorité… dans la charité envers tous… en prêchant la réconciliation, la paix et la justice… et de respecter la création » (art. 1 §2). Cette vie de la vie évangélique nous fournit un fondement spirituel dans les moments d'épreuve et de souffrance. La fraternité doit être une oasis d'espoir, un lieu où nous puiserons notre force dans la gentillesse et l'attention que nous portons les uns envers les autres. Il est également important que nous prenions soin de nous-mêmes, y compris l'exercice, la lecture, la prière et l'étude, renforçant notre corps, notre esprit et notre cœur pour garder le cap. Notre engagement à être frères de tous les peuples doit nous conduire à nous engager dans une réflexion plus approfondie sur les nombreuses fractures sociales - économiques, politiques, sociales, les diverses formes d'inégalités croissantes, le racisme et autres `` ismes '' - les autres `` virus '' - qui sape le bien commun et l’engagement en faveur de la solidarité mondiale.

 Demandons un apport de connaissances et de perspicacité pour guider les scientifiques, les médecins et les professionnels de la santé dans leur quête de vaccins, de thérapies pour réduire les conséquences de l'infection au CoVid-19 et dans les soins généraux des personnes les plus affectées. Faisons appel à la sagesse de Salomon pour nos dirigeants politiques, afin qu'ils poursuivent le bien commun, reconnaissent les frustrations et la colère des gens qu'ils sont appelés à prendre soin et à servir, et trouvent de nouvelles façons d'accompagner ceux qui en ont le plus besoin d’une assistance spéciale. Tendons les mains et les bras pour embrasser nos frères et sœurs, au sens figuré, partageant notre temps et nos précieuses ressources avec ceux qui en ont le plus besoin comme un signe clair que nous sommes tous connectés, nous sommes tous membres de la seule famille de Dieu, frères et sœurs cheminant ensemble sur le chemin qui nous conduit vers la pleine réalisation du royaume de Dieu dans le présent et l'au-delà. Pour reprendre les mots du Pape François, que la tragédie de la pandémie du CoVid-19 aide à briser « ces fausses et superflues certitudes autour desquelles nous avons construit nos emplois du temps quotidiens, nos projets, nos habitudes et nos priorités… [afin que nous puissions arriver à] l'inéluctable et bienheureuse conscience que nous faisons partie les uns des autres, que nous sommes frères et sœurs les uns des autres »(Fratelli tutti! 32).

Alors que nous commémorons tous les Saints de l'Ordre, prions pour qu'avec l'aide de Dieu, l'intercession de saint François, de tous nos saints franciscains et de Marie, Reine de l'Ordre franciscain, nous puissions raviver notre ferveur initiale et réengager vivre la Règle et la Vie proposée par saint François et approuvée par le pape Honorius III. Tirons notre force du témoignage fidèle de nos saints franciscains qui ont également connu de nombreux défis mais qui ont su garder vivant l'amour et l'espérance qu'ils avaient reçus dès le début de leur cheminement évangélique. Renouvelons notre engagement à être des hommes d'espérance, des frères aimants les uns envers les autres, des chercheurs de justice authentique, de paix, de promoteurs de bienveillance, de fraternité et de solidarité envers tous les hommes et tout l'univers créé. Attendons avec une anticipation active le Chapitre général de 2021, lorsque nous nous réunissons pour réfléchir et embrasser le thème du Chapitre: Renouveler notre vision, embrasser notre avenir - « Levez-vous… et le Christ vous éclairera (Ep 5: 14)! » Dieu est là! L'espoir est proche!

 

En conclusion, je vous invite à prier avec moi les paroles suivantes des « Louanges de Dieu » composées par saint François et confiées au fr. Leo à La Verna en 1224:

 

Tu es la beauté, tu es la douceur,

Vous êtes le protecteur, vous êtes notre gardien et notre défenseur,

Vous êtes notre force, vous êtes un rafraîchissement. Vous êtes notre espoir!

Tu es notre foi, tu es notre charité,

Tu es toute notre douceur, tu es notre vie éternelle:

Grand et merveilleux Seigneur, Dieu Tout-Puissant, Sauveur Miséricordieux. AMEN.


Rome, le 29 novembre 2020

Fête de tous les Saints de l'Ordre Séraphique

 Fraternellement vôtre,

 Br. Michael A. Perry, OFM

Ministre général et serviteur


Ceci est une traduction de l'anglais

 Source: https://ofm.org/blog/finding-hope-in-the-midst-of-the-covid-19-pandemic-letter-of-the-minister-general-to-the-brothers-of-the-order/


26 novembre 2020

Comment utilisons- nous nos talents ?

 

Frère Junior Mwamba Ngongo, ofm

Frère Junior Mwamba Ngongo du Congo, le théologien de la Province franciscaine d'Herzégovine, qui a étudié sur notre site Web à Zagreb, a discuté de l'Évangile d'hier pour notre site Web, et a lu sa discussion ci-dessous:

Un serviteur injuste et paresseux! Vraiment, tu ne m'aimais pas parce que tu ne me connaissais pas et que tu n'aimais pas mon bien-être, alors tu as laissé mon argent improductif. Vous avez trahi mon respect pour vous et vous êtes celui qui vous contredit, vous accuse et vous condamne. Vous saviez que je moissonne là où je n'ai pas semé et j'achète là où je n'ai rien semé. Alors pourquoi ne l’as-tu pas fait pour que je puisse récolter et ramasser? Est-ce ainsi que vous répondez à ma confiance? Vous me connaissez par-là? Pourquoi n'as-tu pas apporté mon argent aux banquiers pour que, à mon retour, je puisse l'obtenir avec intérêts? Je vous ai instruit à cet effet avec un soin particulier, et vous, paresseux et stupide, l'avez ignoré. Alors, laissez votre talent et tous vos autres biens être enlevés et remis à celui qui a dix talents.

Après l'incrédulité manifestée en action sans préparation comme ce fut le cas dans la parabole des vierges sages et folles. Voici l'infidélité par paresse, illustrée par la parabole des talents.

L'initiative, encore une fois, vient du maître. Il ne fait pas de contrat avec ses serviteurs, mais leur laisse une mission personnelle, de plus à chacun selon ses capacités. Le maître connaît ses serviteurs et demande à chacun d'être efficace; après cela, il part et les serviteurs deviennent donc véritablement et pleinement responsables.

Le talent valait environ 6 000 francs or. Un domestique, même le plus pauvre, gère une grosse somme. La parabole ne parle pas de la façon dont les deux premiers ont acquis leur fruit, mais met l'accent sur leur disponibilité. Que représentent les talents? Probablement ce que chaque homme trouve en lui-même pour servir Dieu dans ses frères. La récompense sera de servir encore plus, d'entrer encore plus activement dans l'œuvre de Dieu et de trouver dans ce service une joie qui est le goût de la joie ultime.

La passivité du troisième serviteur a une racine profonde, c'est la peur. La mission reçue ne lui apparaît pas comme un appel à la créativité, mais comme une limitation, comme un fardeau imposé. Le maître ne s'intéresse pas à son travail. Il préfère la sécurité à l'initiative car il n'aime pas le maître qu'il sert. Dépôt? Il le rendra tel quel. Il adhère à des obligations strictes et, par peur du risque, se ferme à la joie du service. Quand le Seigneur reviendra, celui qui n'aura pas; c'est-à-dire que celui qui n'a pas travaillé pour le Royaume au mieux de ses capacités et dans le cadre de sa mission personnelle n'entrera pas dans la joie du Maître.

Quel que soit ses dons et son mode d’action, le croyant n’est jamais plus qu’un intendant des intérêts de Dieu, un intendant des secrets de Dieu; dans son plan de salut (1 Co 4: 1). La peur de Dieu peut parfois être une sorte de tentation d’espoir, parfois cela peut être comme une maladie spirituelle qui obscurcit la vie du croyant, ne le privant pas de la volonté de servir, mais lorsque cette peur est une excuse pour la paresse, alors elle rend l’existence stérile.

La bonne façon de conserver la richesse du Royaume n'est pas de la garder pour soi. On ne l'acquiert vraiment qu'en prenant constamment des risques pour porter ses fruits. La question est: l'Eucharistie n'est-elle pas pour nous l'entrée dans la joie du Maître, le moment où dans l'Église nous apportons au Père tous les fruits de notre action et de notre service?

De Junior Mwamba Ngongo


Ceci est une traduction du texte original en croate

Source: https://radio-medjugorje.com/vijesti/fra-junior-mwamba-ngongo-o-tome-kako-koristimo-svoje-talente/  

23 novembre 2020

Ô toi mon tout !

 

Niagara Falls

Ô toi mon tout !

Redonne sens à ma vie,

Toi qui parles par ta beauté.

Rayonne sur mon existence,

Toi qui chante l’amour.

 

Rallume la joie dans mon cœur,

Toi qui t’exprimes par ton regard.

Illumine tout mon être,

Toi qui fredonnes l’amour.

 

Ravive l’espérance en moi,

Toi qui murmures par ton sourire.

Resplendis dans mon âme,

Toi qui gazouilles l’amour.

Ô toi mon tout !

 

Frère Luc Nzita, ofm


17 novembre 2020

Soutenance de thèse du Frère Georges MISANGE, ofm

 

Frère Georges Misange, ofm


Paix et bien à vous mes frères !

Bien que dure et difficile à cause de la pandémie à covid-19, l’année 2020 n'aura pas été ça. Elle sera aussi porteuse de roses dans notre Province. Les mois derniers, nous derniers, nous avions rendu grâce a Dieu pour la soutenance des thèses de doctorat par les frères : Jean-Claude MULEKYA,ofm et Gabriel BANYAGIRA,ofm ; Aujourd’hui, 17 novembre 2020, c’est le tour du frère Georges MISANGE MUTOMBO,fom.

Le frère Georges MISANGE vient de soutenir avec brio sa thèse en Philosophie, à l’Université Pontificale Antonianum de Rome. Le frère a mené ses recherches sur le thème : « Repenser l’éthique de l’environnement à partir de Martin Buber et de John Rawls ».

Le ministre Provincial, frère André MURHABALE ainsi que le définitoire ont l’immense plaisir de présenter leurs vives félicitations et meilleurs vœux de succès et de réussite au Frère Georges pour l’obtention du doctorat en Philosophie. Toutes nos félicitations et bon courage au frère Georges pour la suite, au service de l’ordre.

Rappelons qu’il avait été rappelé par le Ministre General pour la mission en Turquie.

Toutes nos félicitations.

Mwapusukeni mukwayi !

Frère Bernard KABILA, ofm

Quelques photos








11 novembre 2020

La responsabilité de l'activité sur les droits de l'homme/ L'action franciscaine aux Nations Unies dans la perspective de Laudato si


 

Rejoignez les franciscains du monde entier pour une conversation sur : la responsabilité de l’activité sur les droits de l’homme-L ’action des franciscains aux nations Unies dans la perspective de Laudato si.

Les franciscains des Philippines, D’Indonésie, du Brésil, de la République Démocratique du Congo, du Guatemala, de la Corée du Sud, des Iles Salomon, de l’Australie, de l’Afrique du Sud et des plusieurs autres pays ont été témoins de l’impact de activités extractives, particulièrement dans l’exploitation minière, sur l’environnement et droits de l’homme. L’actuel modèle de l’extractivisme est dévastateur et détruisant notre maison commune.

Comme une voix franciscaine aux Nations Unies (NU), Franciscans International (FI) a travaillé pour promouvoir le respect des droits de l’homme dans toutes les transactions commerciales, en particulier dans le secteur extractif. Travaillant étroitement avec les franciscains œuvrant dans les communautés de base, ensemble nous sommes appelés à une plus grande responsabilité pour les abus des entreprises, y compris l’accès à la justice pour les victimes.

Franciscans International croit que l’Encyclique papal Laudato si de 2015 a fourmi des orientations pour porter la voix des communautés affectées à l’intention de la communauté internationale, en particulier des Nations Unies.

Comme franciscains, aujourd’hui, plus que jamais, nous avons l’opportunité de penser au sujet d’un nouveau monde possible. Dans ce contexte, nous pensons que les enseignements de l’Encyclique Laudato si peut offrir un cadre plus humain et fraternel pour réfléchir sur un développement intégral et plus juste pour toute la race humaine.


Source: https://ofm.org/blog/the-responsibility-of-business-on-human-rights-franciscan-action-at-the-united-nations-from-the-perspective-of-laudato-si/

Traduit de l'anglais par Frère Luc Nzita, ofm


10 novembre 2020

Wow! Ils ont 25 ans!

 

Frère Alex Mikombe, ofm

« Que tout ce qui respire loue le Seigneur » Ps 150, 6

Ce dimanche 09 novembre au Noviciat Franciscain Sainte Marie des Anges de Lubumbashi, une grande messe a été célébrée en l’honneur des trois frères qui ont réalisé 25 ans de sacerdoce. Il s’agit des frères ci-après : Frère Alex Mikombe, ofm, Frère Georges Mbayo, ofm et Frère Michel Mizinzi, ofm. Cette messe a été présidée par le Père Alex Mikombe, ofm. Plusieurs prêtres, religieux, religieuse, membres de la grande famille franciscaine et autres invités ont rehaussé de leur présence non seulement à ladite messe, mais aussi à la fête fraternelle organisée à cet effet.

Nous unissant aux frères jubilaires, nous leur souhaitons une bonne persévérance dans la vigne du Seigneur! Que Dieu les bénisse et les garde dans cette charge pastorale! Et ensemble avec Lucien Deiss, nous disons : « Ah! Qu’ils sont beaux sur la montagne, les pas de ceux qui portent la Bonne Nouvelle, qui annoncent le salut et la paix ».

 Frère Luc Nzita, ofm


Quelques photos 











03 novembre 2020

Ça se fête!

 

Frère Oscar Ulrich Simani, ofm


« Tu es prêtre pour l’éternité à la manière de Melkisédeq ». (He 5, 6)

Le premier jour du mois de Novembre 2020, en République Centrafricaine plus précisément à Rafai, le frère Oscar Ulrich Simani, ofm a été ordonné prêtre par l’imposition des mains de Monseigneur Juan-José Aguirre Munoz, évêque de Bangassou. Après avoir passé la majeure partie de sa formation en R.D. Congo au noviciat Sainte Marie des Anges et au Scolasticat Saint Jean XXIII, il s’est engagé à tout jamais devant une foule immense scandant des chants de joie à être prêtre dans la vigne du Seigneur.

Quoi de plus beau de voir un troisième frère franciscain ofm centrafricain répondre à l’appel du Seigneur! Nos vœux les meilleurs et un fructueux ministère à lui!

Fraternellement Luc Nzita, ofm et Ghislain Miji, ofm


Quelques Photos








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